• Une histoire manquant de sel et trop british à mon gout, une écrivaine en manque d'inspiration reçoit une lettre de l'île de Guernesey expliquant qu'il détienne des livres lui appartenant. S'en suit une correspondance entre les  différents protagonistes tous membres du club littéraire et des amateurs de tourtes aux épluchures de pomme de terre. Rapidement on comprend les tenants et les aboutissants de l'histoire. Pas mauvais mais pas sensationnel.

    patate à l'anglaise


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  • Deux pavés fort sympathiques à lire, on suit sur les deux volumes le voyage de Guy de Ciron alias Vallon aidé de Wayland et d'Héro, c'est plaisant à lire il n'y a pas trop de détails juste ce qu'il faut. Ce n'est pas les titres de l'année mais pour un été en bord de plage ou de piscine c'est très bien. L'auteur nous embarque à partir de Byzance vers l'Aquitaine et en Norvège tout en passant par l'Angletterre puis  à la Chine du XIème siècle, grosse promesse de dépaysement.

    Robert Lyndon : la quête et le feuRobert Lyndon : la quête et le feu


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  • Un an de chronique ayant pour thème le prince Président Poupin 1er ! à lire

    Chroniques sur la Macronie


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  • Deux bouquins reprenant les digressions et affabulations de De Groodt,  j'ai personnellement rigolé, parfois pleurer de rire. Même si les ficelles sont grosses par moment, et que l'on retrouve quelques répétitions, vous allez passer un bon moment.

    voyage aller et retour en Absurdievoyage aller et retour en Absurdie


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  • Conclave de l'archiconnu Robert Harris relate comment élire un pape. le cardinal Lomeli est le héro du livre il est surtout le gardien des règles et le juge-arbitre du conclave. Les détails sur le Vatican et son fonctionnement sont clair, Lomeli servant de guide et comme à son habitude Harris nous transporte dans un récit où les évidences sont plus subtiles qu'il n'y parait. Une galerie de portraits et l'évocation des turpitudes de l'Eglise sont bien amenés. Un bon livre d'été.

    Enfermé au Vatican


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  • Roland Barthes vient de mourir dans un accident de circulation ( comme Henri IV) mais à peine le corps de l'illustre est refroidi, qu'une folle nouvelle se répand enfin du moins il serait possible que Barthes est découvert et mis en forme la septième fonction du langage évoqué par Jakobson. Nous entrons dans les années 80 à la veille des élections présidentielles, une époque qui fourmille, déborde d'énergie et de certitudes, un début de décennie ou les intellectuels français tiennent encore le haut du pavé. Oui, dans cet ouvrage on rencontre des Foucault, des Althusser, Derrida, Sartre et même des BHLs... bref une belle vitrine. Mais que dire des deux héros : Bayard ancien militaire de droite conservateur, une image à la Lino Ventura et Herzog universitaire thésard gaffeur et maladroit tenant du Pierre Richard... non je ne peux pas en dire plus car cela gacherait le plaisir de la lecture de cet ouvrage. Cependant un bon moment passé à croisé des personnages comme Eco, Searle etc. Mais au fait ce roman ne serait - il pas la formule de la septième fonction du langage.


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  • Une histoire dont j'ai du mal à classifier , à catégoriser...l'auteur s'appuie sur l'Histoire hongroise, les mythes magyars, la fantasy, la biographie... bref un certain mélange qui peut plaire ou au contraire effrayer. Je me suis plongé dans cette histoire et j'en suis sorti sans pour autant m'être mouiller  autant que je le souhaitai.

    A chacun son avis.


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  • La suite de Black Out, on reste dans la même veine que le premier tome avec les enchainements des événements, les destins croisés et surtout l'épilogue de cette histoire parfois alambiquée.  Le principal élément a retenir  de All Clear est la manière dont Willis nous embrouille, nous ballade et nous offre une fin qui je dois le concéder m'a déçu. Je ne dirais pas que cela finit en queue de boudin mais en queue de poissons, finalement les heures de lectures pour en arriver là ! Je ne dévoile pas trop l'intrigue car chacun doit percevoir la chose à sa façon mais All Clear reste un bon livre sans pour autant survolter mon enthousiasme.

    All Clear de Connie Willis


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  • En 2066  (mille ans après un certain Guillaume...), les historiens d'Oxford ont la possibilité de retourner non pas vers le futur mais dans le passé (merci Doc!). Bien entendu, à charge de ne pas modifier le court de l'Histoire ni d'intervenir, ces derniers peuvent observer, peaufiner leurs études qui entrent dans les lignes d'analyses psychosociologiques et culturels mais en restant dans l'Histoire... compliqué n'est ce pas ? D'autant qu'il y a des points de divergences temporels, des visites temps réels et flash ! Ne vous inquiétez pas, pour lire Black Out, il ne faut pas être agrégé d'Histoire ni d'être titulaire d'un master en physique quantique, ouf ! Pour recentrer mon propose, ce roman qui est difficilement classable relate le voyage de plusieurs historiens qui vont retrouver coincer dans le Londres du Blitz ( de septembre  40 à mai 41) et de la manière dont ils essayent de rejoindre leur époque (2066) sans causer trop de dégâts à l'Histoire en cours. Vu comme cela on peut dire rien de nouveau dans le genre

    Cette première partie (la suite s'appelant All Clear) est un bon roman agrémenter de nombreux faits, dates, il tend à rendre compte à la fois de l'attitude des Londoniens durant cette période mais également à montrer le désarroi de ceux qui ne connaissent pas la douloureuse expérience de la guerre. On est pris dans le récit croisés des historiens et historiennes perdus mais on regrette que certains personnages ne soit pas mieux exploités que l'aspect voyage dans le temps ne soit pas mieux mis en avant. Et surtout il faut passer plusieurs chapitre avant que l'histoire démarre réellement. Ceci étant dit c'est un livre agréable à lire car on évite l'écueil d'explications alambiquées, les détails pléthoriques.

    Black Out de Connie Willis

     


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  • J'ai lu avec une certaine voracité le dernier Goncourt, dont tout le monde disait le plus grand bien et bien je confirme cette impression. Ce roman surfe sur la vague du centenaire de la première guerre, c'est un fait, mais le point d'attaque, l'horizon d'attente entretenu par l'auteur font que la lecture est prenante et sort des sentier battus de nos lectures de Pierre Miquel par exemple.  L'autre point fort est le portrait des cinq protagonistes principaux qui dans un certain sens se confonde par leur hypocrisie, la douleur, l'opportunisme, la perdition de soi ... De bout en bout on est pris par par cette histoire fictive d'escroquerie aux monuments aux morts et à l'ambiance des années d'après guerre, de cette France profondément meurtri tout en ayant au fond le sentiment que cet épisode pourrait trouver sa place dans notre actualité.

    D'ordinaire je ne suis pas un grand fan des Goncourt mais ce livre vaut la peine d'être lu.


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